6 étapes pour écrire un article de blog percutant et optimisé pour le SEO en 1h ?

6 étapes pour écrire un article de blog percutant et optimisé pour le SEO en 1h ?


Bientôt les vacances, le moment où on va réussir à sortir la tête de l’eau du quotidien et prendre du recul sur son activité.

Et là c’est le moment idéal pour réfléchir à ses articles de blog de la rentrée et de les écrire plus sereinement sans être interrompu par des choses qui vous semblent plus importantes pour votre business. 😉

Petit reminder sur l’objectif d’un article de blog : PROFITABLE VIRALE & OPTIMISE POUR LE SEO

Une fois que l’on a bien cela en tête, on se lance …. Voici les 6 étapes clés & trucs et astuces pour écrire un article de blog en 1H00

ETAPE 1 : Comment trouver le bon sujet de mon article de blog ou Linkedin ?

  • Cibler votre persona marketing, de préférence votre champion, l’interlocuteur qui fait que vous gagnez le projet quand il est conquis par votre solution !
  • Pensez aux 5 derniers rendez-vous que vous avez eu avec ce persona et ses problèmes et défis
  • Contextualisez le problème dans son environnement

Normalement à ce stade, vous avez déjà 2 ou 3 sujets qui vous viennent naturellement.

ETAPE 2 : Définir l’objectif marketing de votre article de blog

Généralement vous retrouvez 3 grands objectifs :

  • Faire connaître : notoriété
  • Faire aimer : développer votre image d’expert dans votre domaine ou sur un secteur
  • Convertir : engager sur d’autres contenus pour générer des contacts

Dans le cadre d’un article de blog ou d’un article Linkedin, je vous recommande vivement le deuxième objectif. Aider votre persona dans son quotidien et construire auprès de lui et son réseau une image d’expert de votre domaine est particulièrement gagnant et viral !

ETAPE 3 : Définir les mots clés cibles

Je sais que cette partie peut paraitre fastidieuse mais indispensable pour un bon référencement de votre article.

Petit conseil : si vous n’avez pas d’outils spécifiques, pensez aux mots qu’utilisent vos clients et prospects lors de vos échanges.

Aucun texte alternatif pour cette image

Vous pouvez également regarder les tendances de recherches Google sur Google Trend.

Néanmoins si vous êtes sur un marché de niche, des mots clés à faible volume sont synonymes de qualité de trafic.

Mon conseil est de cibler 5 mots clés bien précis

ETAPE 4 : Définir le plan de votre article de blog

Pensez votre article comme si vous racontiez une histoire. Vous connaissez le mot à la mode « storytelling ». Et bien voilà il faut en abuser !

Idéalement pour le SEO et la facilité de lecture de vos lecteurs il vous faut au moins :

  • Un titre principal (H1), souvent le titre de l’article
  • Au moins 2 titres secondaires (H2)
  • Vous pouvez aller jusqu’au titre 3 (H3) sous un titre 2 (H2) mais si vous en placez un, il vous en faut un deuxième.

N’oubliez pas que Google et vos lecteurs doivent être guidés dans leur lecture … Le plan doit donc être cohérent et donner envie de lire la suite.

Dans vos titres pensez également à intégrer vos mots clés

ETAPE 5 : Comment écrire votre article de blog ?

Gardez bien en tête vos mots clés, ils doivent idéalement être répétés 5 à 6 fois chacun (pas plus sinon Google va vous sanctionner)

Google considère un article compétitif à partir de 1600 mots en moyenne (cela dépend bien entendu de la concurrence sur ce thème mais la moyenne est bien là). Vos lecteurs aussi !

1600 mots ça parait beaucoup comme ça devant sa page blanche mais voici quelques astuces à appliquer et vous allez voir qu’on y arrive très rapidement.

  1. Plongez-vous dans l’histoire que vous souhaitez raconte. Vous savez le fameux storytelling 😉
  2. Donnez-vous un timing pour écrire une première bonne version de votre article qui idéalement correspond à un moment bien précis de votre journée. Par exemple, il m’arrive de me dire j’ai 30 minutes de transport en commun, je me mets sous mon casque, j’ouvre un application de prise de notes et je me fixe l’objectif d’écrire une bonne première version de mon article en 30 min.
  3. Laissez reposer ce vous avec écrit et imaginez ensuite des exemples et des cas concrets qui peuvent servir à vos lecteurs.
  4. Finalisez l’article en 20 minutes : relecture, exemple et image et le tour est joué !

ETAPE 6 : Planifier une date de publication

Vous avez quasiment terminé. Il ne reste plus qu’à se fixer une date de publication. On a pas fait tout ça pour rien …

Pour les articles Linkedin, le meilleur moment est de 10h00 à 13h30 et après 17h00 … Globalement avant les pauses quotidiennes ou la fin de journée. Des études ont démontrés également que le mardi est le jour le plus favorable aux clics et aux partages.

BONUS : Vous pouvez téléchargez directement mon modèle de
« Blog card article »

Lancez vous ! 😉


Pour aller plus loin ....


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Startup B2B : Comment tirer parti de la réglementation européenne comme avantage concurrentiel ?

Startup B2B : Comment tirer parti de la réglementation européenne comme avantage concurrentiel ?


B2B startup marketing strategy : Tirez parti de la French tech wave !

Face à une concurrence souvent américaine sur le territoire français ou Européen, les Startups françaises n’ont souvent pas la force de frappe marketing et budgétaire de leurs concurrents américains…

Si la grande tendance est d’acquérir des solutions « locales » et que la législation pousse dans ce sens, notamment lorsque l’on parle de traiter des données à caractère personnelles avec le RGPD ou encore de révolution du monde bancaire avec la DSP2, lorsque l’on attaque des grands comptes, les éditeurs américains reconnus sur le marché sont souvent un choix rassurant pour le client final.

Forcément, choisir LA SOLUTION acquise par d’autres grands groupes, parfois recommandée par le Gartner ou certifiée par des organismes comme l’ANSSI permet aux équipes IT de se protéger en cas de problèmes avec la technologie choisie …

De plus, malgré l’incitation des textes réglementaires, certains organismes français préfère certifier aujourd’hui des solutions américaines …

Dans ce contexte, comment tirer son épingle du jeu quand on est une Startup B2B française auprès des grands comptes ?

La réponse se trouve dans la conformité à la législation locale ou européenne. 

Pourquoi ? Parce que même si vous avez un excellent produit, ergonomique avec des fonctionnalités exclusives, cela peut être insuffisant face aux géants américains.

En revanche être en mesure de rassurer l’ensemble des équipes IT, RH et juridique en évacuant toutes les questions de conformité et en les aidant à être “compliance” peut clairement être une orientation gagnante.

 C’est le combat marketing que j’ai mené pendant 10 ans lorsque j’ai été CMO d’une Startup dans la Cybersécurité.

Cette stratégie marketing basée sur la conformité à la législation a permis d’acquérir une notoriété sans précédent et une croissance annuelle de plus de 40%.

Vous avez conscience du potentiel de marché que vous pouvez acquérir grâce à ce levier législatif mais vous ne savez pas comment l’exploiter dans votre stratégie marketing ?  

Voici 3 étapes clés issues de mon expérience réussie pour construire votre stratégie marketing basée sur la législation française ou européenne. 

Elle permet rapidement de gagner en crédibilité, en notoriété et part de marché.

ETAPE 1 : Identifiez les sources de crédibilité règlementaire sur votre marché

Les “sources” de crédibilité sont tous les “leviers” qui vont vous permettre d’être reconnu rapidement comme un acteur incontournable et fiable sur votre marché de part une expertise et/ou une conformité particulière.

Ces “ressources” externes doivent venir crédibiliser votre discours au delà de votre technologie.

Généralement, sur le marché de l’IT B2B, il y a 3 grandes sources :

Les certifications

Entre les normes, les labels, les certifications, les certificats souvent obligatoires … les opportunités de faire certifier sa technologie ou une partie de sa technologie par des autorités de certification ne manquent pas. 

C’est vraiment une étape à ne pas négliger même si cela parait long et fastidieux…

Par exemple, dans le domaine bancaire et plus particulièrement les Fintech vont faire appel à des QTSP (Qualified Trust Services Providers), des autorités de certification reconnues par l’Europe pour délivrer des certificats eIDAS.

Concernant une certification RGPD, c’est plus compliqué … La CNIL n’a pas encore lancé de certification officielle…

Dans ce cas, quelles sont les alternatives ? 

Première option, aller chercher une certification auprès d’organisme leader de la certification comme l’AFNOR mais non spécialiste.

C’est ce qu’a fait Tilkee : https://www.maddyness.com/2019/07/16/certification-rgpd-afnor-tilkee-tribune/

C’est unprocess qui paye mais qui peut être lourde pour une Startup. Dans l’article ci-dessus, Tilkee estime à 400h d’un DPO sur 1 an et demi de travail.

En tout cas, si vous vous lancez dans cette démarche, soyez prudent, de nombreux opportunistes se sont lancés sur ce créneau…

La deuxième option est beaucoup plus simple et tout aussi payante … Allez chercher des partenaires “juridiques” qui ont un nom sur votre marché ou secteur.

C’est la voix que j’ai choisi dans mon expérience précédente.

Les partenariats avec des entreprises influentes ou influenceurs

Par partenariat j’entends une alliance gagnante sur le long terme avec qui vous allez pouvoir capitaliser. Idéalement votre partenaire dispose déjà d’une forte notoriété auprès de votre cible.  

Personnellement, je me suis assez naturellement tournée vers un cabinet d’avocats renommé dans l’IT, le cabinet d’avocats Alain Bensoussan.

Au delà de la notoriété du cabinet d’avocats ou de votre partenaire, il est également important d’identifier le bon interlocuteur qui a une excellente réputation sur le marché. Il peut jouer un rôle d’influenceur déterminant.

J’ai travaillé pendant presque 8 ans avec Maître Eric Barbry, extraordinaire orateur et reconnu sur le marché pour la qualité de ses interventions. Eric a rejoint le cabinet Racine aujourd’hui. Si le cabinet est moins spécialisé IT, Eric a gardé sa grande expertise notamment sur des sujets RGPD, fraudes…

Les groupes de travail à forte notoriété supportés par des organismes référents

De plus en plus répandu notamment dans l’univers bancaire, des groupes de travail voit le jour pour faire évoluer la législation dans le bon sens.

Par exemple, l’ACPR (l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution), est adossée à la Banque de France. Cette autorité est en charge de l’agrément et de la surveillance des établissements bancaires, d’assurance et de leurs intermédiaires, dans l’intérêt de leurs clientèles et de la préservation de la stabilité du système financier.

Ils ont créé un groupe de travail « KYC à distance ». L’objectif est d’aider l’ACPR à mettre à jour les directives relatives à l’entrée en relation à distance pour les institutions financières.

Ubble, Fintech spécialiste de l’identification d’identité digitale, a intégré ce groupe. Cette participation permet ainsi à ubble de bénéficier :

  • d’une casquette d’expert dans le domaine de la lutte contre la fraude (usurpation d’identité, fraude documentaire…)
  • d’une crédibilité en tant qu’acteur majeur respectant le cadre réglementaire auprès de ses clients

Il existe donc une multitude de moyens de gagner en crédibilité grâce au levier réglementaire auprès de vos cibles sur votre marché. Il est important de passer du temps à les identifier.

Lorsque que vous vous engagez dans un partenariat, veillez bien à une relation solide gagnant – gagnant qui s’inscrit sur le long terme.

Pourquoi ? Parce que vous allez capitaliser sur ce partenariat avec une vision long terme.

ETAPE 2 : communiquez et utilisez ces sources de crédibilité

Affichez vos certifications, partenariats ... sur tous vos supports de communication

La première étape est bien entendu de mettre en avant l’ensemble de vos sources : certification, partenariats, …. sur tous vos support de communication. (Site web, plaquettes, powerpoint…).

Elles jouent un rôle de caution au même titre que vos références client.

Écrivez ou co-écrivez des articles réguliers sur les évolutions législatives

On ne le dira jamais assez, aujourd’hui le contenu est roi. Je dirai même que le contenu est R.O.I ! Profitez de toutes les sources de crédibilité que vous avez trouvé pour communiquer et écrire des articles. 

Selon votre secteur et vos cibles, il faudra dans un premier temps bien comprendre les attentes et défis réglementaires auxquels vos cibles font face. Il vous faut également organiser une veille sur tous les aspects réglementaires qui peuvent être des opportunités de communication sur votre marché.

Ensuite créez un “content calendar” sur 3 mois et diffusez des articles régulièrement sur votre blog et sur Linkedin. C’est également une opportunité de contenu pour vos lettres clients ou newsletter.

Si vous avez trouvé votre partenaire juridique ou influenceur, la co-écriture d’article est très souvent un pari gagnant.

Petit conseil pour ces articles…

N’essayez pas de vendre votre solution !

Ce n’est pas l’objectif !

L’objectif de ces articles est de générer du trafic sur votre site et de travailler votre casquette d’expert incontournable sur certaines questions juridiques.

Publiez des livres blancs et distribuez ces livres blancs lors de vos évènements

Vos articles font le buzz et votre trafic “qualifié” augmente ? 

Vous allez commencer à constituer une base d’emails de visiteurs qui souhaitent s’inscrire à vos actualités juridiques via votre site. 

Maintenant transformez vos visiteurs en contacts plus qualifiés ! Comment ? En passant à l’étape supérieure : les livres blanc juridiques.

Il s’agit ici de co-écrire des livres blanc juridiques sur différents thèmes avec votre partenaire. Le défi est de rendre accessible à vos cibles les aspects juridiques autant sur des aspects théoriques que opérationnels.

C’est un travail qui demande un certain investissement mais qui devient un outil de prospection et de considération déterminant.

Diffusez les sur votre site Internet avec un formulaire préalable et communiquer dessus !

Tous vos articles juridiques de votre blog doivent également proposer vos livres blancs. C’est dans ce formulaire que vous allez collecter les premières datas intéressantes (société, poste, nom & prénom)

C’est ce que j’ai fait dans ma Startup de cybersécurité, Olfeo.

Nous avons co-écrit plusieurs livres blanc avec Eric Barbry et le Cabinet d’avocats Alain Bensoussan. La couverture doit bien entendu mentionner les deux marques.

Profitez également de vos évènements pour distribuer une version papier de vos livres blancs lors d’évènement.

Par exemple, lors de salons stratégiques, je proposais aux participants de passer sur le stand pour leur remettre le livre blanc “X”. Conversion en contact garantie !

Adoptez l’angle juridique lors de vos évènements

Aujourd’hui, il est difficile de mobiliser les foules autour d’une technologie. Par contre, aider vos cibles tech à comprendre les impacts juridiques dans leur quotidien et leur offrir une solution technologique conforme en tout point fonctionne beaucoup mieux. 

Vous simplifiez leur travail et vous vous démarquez de vos concurrents qui vont souvent attaquer leurs événements sous un angle techno ou marché.

Par exemple, avec Eric Barbry, notre partenaire avocat spécialiste de la protection des données, nous organisions régulièrement des matinées, des conférences de presse et même nos ateliers sur des salons stratégiques. Nous proposions des thématiques comme “Comment maîtriser légalement l’utilisation d’internet ?” ou encore “Charte informatique : Enjeux et plan de déploiement”

L’intervention d’Eric était la garantie d’une salle comble.

A tel point que plusieurs années de suite, sur le salon des Assises de la sécurité, les organisateurs ont dû nous changer de salle pour une salle plus grande.

Faites évoluer votre roadmap

Les évolutions juridiques et leurs impacts sur les nouvelles technologies sont aussi une fabuleuse opportunités de faire évoluer votre solution. 

Tout d’abord parce que intégrer des dimensions réglementaires visibles dans votre produit permettent une excellente cohérence lorsque l’on anime un évènement sous le thème juridique.

Si vous parvenez à prouver que votre solution répond au cadre juridique précédemment évoqué par un avocat, votre techno prend une toute autre dimension aux yeux de vos prospects.

Par exemple, dans ma startup de cybersécurité, nous avions fait certifier nos catégories de filtrage par le cabinet d’avocats Alain Bensoussan. Impact assuré suite à l’intervention d’Eric Barbry !

Puis et surtout c’est une fabuleuse source d’innovation souvent inimitable par vos concurrents américains !

Dans cette même startup, la solution de proxy et filtrage de contenu collectait des données à caractère personnelles avec pour conséquence l’obligation de faire signer une charte informatique à chaque collaborateur.

Cette démarche ralentissait clairement la vente et le déploiement de la solution. Lors des échanges avec nos clients et prospects, il était évident que cette charte informatique était un problème beaucoup plus global pour eux.

A chaque intégration d’une nouvelle techno qui collectait des données à caractère personnelles il fallait non seulement revoir la charte mais surtout la refaire signer à tous.

J’ai donc demandé à la R&D si il était possible de développer une fonction permettant d’uploader cette fameuse charte et de la diffuser automatiquement à chaque collaborateur à sa première connexion ou lors de sa mise à jour.

Cette fonction n’a pas coûté grand chose en terme de développement. En revanche commercialement ça a été un succès ! Les commerciaux avaient des appels pour commander de licences de “charte informatique”.

Il fallait bien sûr acheter notre solution pour bénéficier de cette fonction. Cette simple fonction a permis d’accélérer les signatures en vitesse et en nombre  en aidant nos utilisateurs finaux en terme de conformité à la législation.

Depuis cette épisode, dans la roadmap, 25% des développements étaient consacrés à des dév “Marketing”.

Petit conseil : Quand vous vous lancez dans cette stratégie, choisissez une personne en interne qui portera “la casquette juridique. Cette personne deviendra le référent juridique aussi bien en interne qu’en externe avec vos partenaires ou lors de l’animation d’évènements. Il faut bien entendu qu’elle ait une appétence pour le juridique, cela peut être la responsable marketing ou si vous avez un risk et compliance manager en interne c’est encore mieux.

ETAPE 3 : alignez l'interne et faites progresser vos équipes

Formez vos équipes commerciales au discours juridique et décrochez des RDV !

Choisir une stratégie marketing basée sur la conformité à la législation est bien entendu payante d’un point de vu marketing mais doit trouver son prolongement auprès des équipes commerciales.

Pourquoi ? D’abord parce que le marketing et le commerce doivent être alignés pour réussir. Puis, former les équipes commerciales au discours juridique permet de faire la différence lors de RDV avec leurs clients et prospects.

Mieux encore, cela permet d’obtenir des RDV avec des DSI parfois inaccessibles ou des responsables RH. Cette démarche permet ainsi de convaincre un public plus large sur un compte.

Dans ma startup cybersécurité j’avais cette casquette “expert juridique”.

J’ai fait plusieurs RDV de ce type avec les commerciaux. A chaque fois, nous avons gagné le compte.

Etendez votre offre de service ! !

Choisir une stratégie marketing basée sur la conformité à la législation permet également d’étendre vos services auprès de vos clients. 

Aujourd’hui, la sensibilisation des utilisateurs finaux aux risques liés à internet, la sécurité réseau, la fraude, … fait partie des meilleures pratiques.

Qui de mieux que vous et votre partenaires juridiques pour vendre ces prestations à vos clients ?

Etendez votre offre de service ! !

Pour aller au bout de la démarche, si vous avez suffisamment convaincu de l’importance du volet législatif, vous pouvez convaincre vos prospects d’inclure un paragraphe sur cet aspect dans leur appel d’offres

Et là c’est souvent gagné 😉 !


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Pourquoi faut-il traiter un DSI comme Persona et non comme Cible marketing dans le secteur IT ?

Pourquoi faut-il traiter un DSI comme Persona et non comme Cible marketing dans le secteur IT ?


Au cours de mes missions de conseil en marketing digital et de nombreux échanges avec mes clients éditeurs de logiciel ou startups SaaS, je me suis rendue compte que lorsqu’on évoque le terme “buyer persona”, on entre dans un débat souvent très animé.

J’ai rencontré de nombreux CEO, CMO et CSO et tous me disaient :

 

“définir une cible marketing ? c’est déjà fait”,

“nous avons déjà fait le travail de segmentation client et de ciblage marketing lorsque l’on a créé l’entreprise”,

“on connait très bien nos cibles”

 

Pour beaucoup d’entre eux, la définition de persona marketing est une étape inutile puisqu’à juste titre ils connaissent parfaitement leurs interlocuteurs.

Déployer une stratégie d’Inbound Marketing IT et lancer la prospection digitale le plus rapidement possible est la priorité !

Je peux les comprendre.

Pourtant, il existe une différence fondamentale entre les deux et ne pas définir ses personae est LA raison majeur de l’échec d’une stratégie digitale dans le secteur IT :   

  • peu de visibilité sur Google
  • peu de nouveaux visiteurs sur le site web ou des visites peu qualifiées
  • peu d’engagement sur les réseaux sociaux alors que nous sommes partout
  • beaucoup de temps à rédiger des contenus mais un taux de conversion insuffisant

Pourquoi ? Parce qu’un buyer persona est bien plus qu’une cible marketing ! 

C’est un profil de personne qui évolue dans le temps en fonction d’un contexte métier. C’est de lui que va dépendre les mots clés choisis et l’ensemble de votre stratégie de contenus marketing. 

Autrement dit il est la base de toute stratégie d’Inbound Marketing IT B2B performante. L’enjeu est de concevoir des contenus qui apportent une vrai valeur client centrée ses défis et aspirations afin de les faire adopter votre point de vu. 

Quelles différences lorsque l’on traite un Directeur des systèmes d’informations (DSI) comme Buyer Persona vs une cible marketing ?

Définition d’une cible marketing : l’exemple du Directeur des systèmes d’informations (DSI)

Une cible client marketing est un regroupement de personne selon des critères socio-démographique (CSP, revenus, âge, secteur, taille d’entreprise…).

Prenons l’exemple concret d’un DSI (Directeur des systèmes d’informations) ou CIO (Chief Information Officer).

Je commence par lui car lors de mes premiers échanges avec mes clients, sur le secteur informatique, c’est LA CIBLE ultime à voir et à convaincre.

Certes il occupe un poste clé et c’est bien lui qui a bien souvent la signature.

Mais on verra dans un prochain article que se concentrer seulement que sur ce profil est aussi une des principale source d’échec de votre stratégie d’inbound marketing B2B dans l’IT.

Lorsque je demande à mes clients de me décrire la cible DSI, ils me répondent :

c’est un homme entre 40 et 55 ans qui travaille dans des entreprises qui ont entre 4000 et 10000 personnes plutôt dans les secteurs X et Y ou dans tous les secteurs.

Lorsque je leur demande comment ils adressent ces cibles, généralement la réponse est très claire :

les commerciaux prospectent jusqu’à obtenir un RDV avec le DSI. C’est d’ailleurs pour faciliter la prospection commerciale que l’on souhaite mettre en place une stratégie d’Inbound Marketing.

Mais lorsque je vais plus loin et que je demande quelles sont les problèmes et les défis d’un DSI dans une entreprise de 5000 personnes et comment ils apportent une valeur différenciante, les réponses sont plus floues ou centrées sur la solution technique.

C’est bien ici que je veux en venir …

Les problèmes, les défis dépassent le cadre d’un ciblage marketing classique.

Les dimensions psychologiques, comportementales et contextuelles joueront un rôle déterminant dans la stratégie marketing digitale et dans la prospection B2B.

C’est précisément là que vous allez gagner du terrain.

Définition d’un buyer persona : l’exemple du Directeur des systèmes d’informations (DSI)

Dans le domaine du marketing digital, la définition de persona marketing est une représentation fictive de votre client idéal.

C’est un individu stéréotypé qui va permettre de dresser un profil type détaillé de votre cible digitale prioritaire.

L’élaboration d’un persona marketing ne se focuse pas seulement sur des données socio-démographiques mais va s’intéresser à la personne en tant que telle : ses problèmes, ses défis, ses aspirations selon son niveau de maturité et son contexte.

On intègre à la segmentation marketing classique les objectifs commerciaux, les attentes et l’adéquation avec votre offre.

Pourquoi ? Parce que votre objectif est de lui adresser le bon message au bon moment pour le faire adopter votre pointe de vu.

Exemple du persona DSI : 

  1. QUI EST IL ? 
  • DSI dans une société entre 4000 à 10 000 personnes
  • 8 à 15 d’expériences dans différentes entreprises
  • Basé dans de grandes villes ou en périphérie
  • Homme entre 38 et 50 ans
  • Marié avec 2 enfants
  • Master avec une année de spécialisation ou une école type EPITECH, EPITA
  • Son revenu est en moyenne de 100 K euros annuel
  • Son rôle : gérer les ressources informatiques pour satisfaire les besoins des différents business unit tout en respectant la politique de l’entreprise. Il assure aussi à son niveau les profits de l’entreprise. C’est pourquoi il n’a pas le droit à l’erreur quant à ses décisions technologiques.
  • Il reporte soit au CEO (Chief Executive Officer) ou au CFO (Chief financial Officer). La dimension ROI est donc importante
  • Homme de rigueur avec un sens de l’écoute et de gestion des personnes difficiles qui ne comprennent pas nécessairement l’informatique.
  • Une appétence pour le digital et les enjeux réglementaires, il n’est pas concerné par la couverture fonctionnelle des solutions technologiques
  • Il est difficilement joignable et préfère une communication par mail.

2. QUOI ? SES OBJECTIFS ET DEFIS ?

  • Trouver des solutions technologiques afin de répondre aux besoins opérationnels des services de direction : Cloud, virtualisation, Shadow IT, sécurité, transformation numériques, big data
  • Tirer parti des nouvelles technologies avec un ROI optimal coût / satisfaction interne
  • Assurer la livraison à temps et un service continu
  • Gestion des risques et de la conformité
  • Coordination entre différents services
  • Amélioration des processus métier avec les technologies émergentes
  • Convaincre le CFO (Chief financial Officer) et attirer l’attention du CEO : gagner en légitimité et confiance au sein du Comex

3. CE QUE L’ON PEUT FAIRE POUR L’AIDER ? 

  • Améliorer son quotidien et optimiser son temps : du contenu d’expert synthétique ou évènements high level. L’objectif est de permettre de faire le point sur les bonnes pratiques, les risques actuels et les évolutions réglementaires
  • Faciliter le contrôle de ses activités : checklist, grille d’audit, …
  • Gagner en reconnaissance interne : tableau de bord et KPIs par métier, certifications des solutions ou Gartner
  • Prouvez un ROI : Outil de calcul de ROI, Use Case

4. COMMENT LE CONVAINCRE ?

  • Il faut dessiner ici votre propre parcours de découverte du DSI vers votre offre en décrivant les étapes clés et en vous plongeant dans sa journée type. Ce qui est certain c’est qu’il ne participe qu’à des évènements tech de haut niveau et s’inspire beaucoup de son réseau, de ses pairs et experts du marché y compris dans des groupe Linkedin très ciblé. A vous de jouer selon votre techno !
  • N’oubliez pas ses leviers d’achat : Reconnaissance interne et initiatives pour récupérer du budget. Votre solution doit cadrer exactement à ses exigences (d’où l’importance de votre stratégie de contenu qui va le faire évoluer durant tout son processus d’achat)
  • N’oubliez pas ses freins à l’achat en vous inspirant des échanges que vous avez pu avoir avec des prospects perdus et gagnés ! Ce qui est certain c’est qu’il prend rarement des risques. Multiplier les prix, les certifications ou être au Gartner est une preuve que son choix est le bon en interne. Si la solution rencontre des problèmes, il aura fait le meilleur choix du marché.

En s’appuyant sur cet exemple, j’espère que la différence est plus claire.

Maintenant que vous savez comment élaborer une fiche persona et particulièrement celle du DSI, je vais vous donner une astuce complémentaire concernant les buyers personae dans le secteur de l’IT.

Il ne faut pas se limiter à un persona mais bien plusieurs personae !

Comme lorsque l’on attaque commercialement des comptes clés en IT B2B, il n’y a pas un interlocuteur à séduire mais plusieurs. Mappez vos personae et offrez des contenus dédiés simultanément à chacune de vos cibles web.

C’est la clé du succès d’une stratégie d’Inbound Marketing. 


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